
Dans certains secteurs viticoles – on pense aux pentes de Chassagne-Montrachet, aux rangs serrés du Beaujolais ou encore à certaines parcelles en Loire – le sol et le relief imposent souvent leurs contraintes. Quand l’interligne se resserre, que les dévers deviennent francs ou que la densité laisse peu de marge, il faut un matériel capable de suivre le terrain sans créer de contraintes supplémentaires. C’est dans cet esprit qu’a été pensé l’HYDRO 35, un chenillard compact qui s’inscrit dans la continuité de la philosophie du Groupe Faupin : proposer du matériel fiable, adapté, et capable de travailler là où un tracteur classique hésite. Entreprise familiale depuis 1950, aujourd’hui dirigée par la troisième génération — Philippe, Martine et Lauren Faupin — le Groupe Faupin s’appuie sur une connaissance approfondie des vignobles de Bourgogne, Beaujolais et Loire.
Grâce à la complémentarité entre Faupin Distribution et Amos Industrie, nous accompagnons chaque domaine avec une solution cohérente, durable et adaptée aux spécificités de ses parcelles.
Avec un moteur Yanmar de 24 CV et une prise de force mécanique de 25 CV, l’HYDRO 35 montre rapidement qu’il a été conçu pour les vignes étroites – où l’espace est particulièrement contraint. Sa largeur resserrée et son châssis agile en font un outil particulièrement polyvalent pour les exploitations confrontées à des profils de terrain complexes.
Ce développement s’inscrit dans l’organisation du Groupe Faupin : un pôle de distribution de proximité avec notre réseau de sept agences, et un pôle de fabrication sur-mesure avec Amos Industrie, garantissant des solutions techniques adaptées à chaque terroir.

HYDRO 35 – Un chenillard pensé pour les interlignes serrés
Avancer proprement dans les rangs étroits
Dans les interlignes de 68 à 90 cm, l’HYDRO 35 trouve naturellement sa place. La différence est perceptible dès les premiers rangs : la machine se glisse entre les ceps, suit la pente sans déport et garde une stabilité rassurante, même sur des sols légèrement accrocheurs ou sujets au tassement après la pluie. Cette facilité vient de plusieurs éléments : le moteur compact mais puissant, le châssis étroit qui ne tasse pas le sol, et la répartition des masses, pensée pour éviter les pertes d’adhérence dans les passages les plus techniques. Pour les vignerons qui doivent travailler sur terrain mouvant ou en fortes pentes, un avantage notable pour les exploitants.
Préserver le sol et protéger les ceps
Un autre atout, souvent souligné par les utilisateurs, concerne le respect du sol. Un chenillard, lorsqu’il est bien équilibré, répartit la charge et réduit le risque de compaction. Sur des parcelles sensibles – argiles humides, sols fragiles, zones engagées dans une démarche de viticulture durable – cela constitue un avantage significatif. Grâce à son gabarit étroit, l’HYDRO 35 circule proprement entre les pieds, sans détériorer la structure superficielle du sol et sans risque de heurter les ceps. Cette maîtrise de conduite devient, pour de nombreux exploitants, un critère essentiel quand il s’agit d’investir dans un matériel destiné aux zones délicates.
Une polyvalence adaptée aux exigences du vignoble
Un chenillard capable d’entraîner une large gamme d’outils
Avec sa prise de force mécanique de 25 CV, l’HYDRO 35 peut entraîner de nombreux outils : broyeurs, interceps, pulvérisateurs portés… C’est un élément déterminant pour les domaines qui veulent un seul porteur pour plusieurs opérations. Sur les terrains en pente, la stabilité naturelle du chenillard facilite aussi l’utilisation d’outils poussés ou tirés, même lorsque le sol devient un peu glissant.
Cette compatibilité large donne la possibilité d’ajuster le matériel en fonction des résidus à traiter, de la saison ou du niveau de densité végétale. Cette polyvalence répond pleinement aux attentes des exploitations qui recherchent une machine polyvalente mais compacte.
Adapter le broyage aux besoins de chaque parcelle
Toutes les situations de broyage ne se ressemblent pas : un terrain très pentu n’impose pas le même outil qu’un interligne travaillé mécaniquement depuis plusieurs années. L’HYDRO 35 permet justement ce choix : il accepte aussi bien des broyeurs légers que des outils plus sollicitants, selon le profil des rangs et la structure du sol. Cette approche s’appuie sur une expertise complète du cycle de production viticole, qui guide la conception et le choix des équipements utilisés au quotidien.
Cette capacité d’adaptation est particulièrement appréciée dans les exploitations où le relief varie d’un îlot à l’autre – un cas très courant en Bourgogne ou dans certaines zones du Beaujolais.
Un entretien simple pour un matériel qui doit durer
Garder la machine en bon état sur toute la saison
La fiabilité du moteur Yanmar n’est plus à prouver : robuste, endurant, conçu pour encaisser des sessions de travail longues. Associé à un châssis compact et solide, c’est un duo qui offre de la constance toute la saison, de mars à juin pour la majorité des travaux viticoles. Comme tout matériel professionnel, un entretien régulier reste essentiel : vérifications d’usage, graissages, contrôle des organes d’entraînement. Un entretien accessible, mais ces gestes prolongent largement la durée de vie du chenillard et maintiennent ses performances sur les vignes délicates.
Prévenir les pannes et maximiser la durée de vie
L’HYDRO 35 est conçu pour limiter les aléas, mais le choix des outils associés joue aussi un rôle important. Utiliser du matériel trop lourd ou inadapté aux conditions de pente peut accélérer l’usure. À l’inverse, une association cohérente entre chenillard et outils – et c’est précisément le rôle des agences Faupin d’y veiller en assurant une utilisation fiable sur la durée.

L’HYDRO 35 – Un chenillard agile, fiable et taillé pour les vignes exigeantes
Pour les domaines qui doivent manœuvrer dans des vignes serrées, sur des dévers prononcés ou dans des zones où le sol réagit vite à la météo, le chenillard HYDRO 35 apporte une réponse simple : puissance maîtrisée, stabilité, respect du sol et compatibilité avec de nombreux outils viticoles.
Il devient rapidement un allié pour les exploitants qui attendent d’une machine qu’elle s’ajuste au terrain. Que ce soit en Bourgogne, dans le Beaujolais ou en Loire, beaucoup apprécient sa maniabilité, sa fiabilité et sa capacité à travailler là où les tracteurs classiques se montrent plus hésitants.
Pour en savoir plus, comparer les configurations ou organiser un essai sur votre domaine, contactez votre agence Faupin — Sancerre (18), Morey-Saint-Denis (21), Beaune (21), Chassagne-Montrachet (21), Mercurey (71), Mâcon (71) ou Cercié (69) — pour organiser un essai ou définir la configuration adaptée à votre domaine. Depuis trois générations, nous accompagnons les exploitants avec des solutions fiables, durables et pensées pour la réalité du terrain
FAQ – chenillard HYDRO 35
Quels sont les avantages d’un chenillard viticole ?
Un chenillard viticole offre plusieurs bénéfices très concrets : une traction fiable, une stabilité appréciable sur les pentes et une capacité à passer proprement dans les interlignes étroits. C’est un outil qui s’adapte là où les tracteurs classiques doivent ralentir ou contourner. Pour les travaux comme le broyage, le désherbage mécanique ou la pulvérisation, cette maniabilité améliore nettement les conditions d’intervention : on garde une trajectoire propre, une sécurité renforcée et un sol moins marqué. Sur les vignes serrées de Bourgogne ou du Beaujolais, cette précision compte énormément.
Comment choisir un chenillard adapté à mon domaine ?
Le choix dépend d’abord du terrain : pente, largeur des rangs, densité des ceps. La puissance du moteur a aussi son importance – les 25 CV de l’HYDRO 35 suffisent largement pour la majorité des travaux viticoles dans les parcelles difficiles. Ensuite, il faut regarder les outils utilisés : broyeurs, atomiseurs, interceps, charrues… Un chenillard compatible avec votre parc existant évite des investissements supplémentaires. Enfin, n’oubliez pas le confort de conduite et la fiabilité du SAV. Sur ce point, le réseau Faupin assure un accompagnement de proximité fiable.
Quels accessoires peut-on utiliser avec un chenillard viticole ?
La plupart des exploitants utilisent :
- des broyeurs pour gérer les résidus de taille ;
- des interceps pour le désherbage mécanique ;
- des atomiseurs ou atomiseurs portés pour la pulvérisation ;
- parfois des charrues ou outils de travail du sol selon les pratiques culturales.
L’HYDRO 35 accepte une large gamme d’outils, notamment grâce à sa prise de force mécanique de 25 CV. À chaque domaine ensuite d’adapter son matériel à son style de conduite et à ses contraintes.
Quel est le prix d’un chenillard viticole ?
Le coût d’un chenillard varie selon la puissance, la marque, les équipements intégrés et les options.
L’essentiel à considérer est qu’un chenillard robuste représente un investissement durable. Sur les vignes en pente ou les sols difficiles, c’est souvent un gain de sécurité, de temps et de régularité qui se vérifient dès les premières saisons.

